J'aime pas les caisses en bois...

Publié le par Vy

Dans la vie, on a des références (de merde) ou on en à pas. Comme tu as pu le voir (ou le sentir), Quidam, j’aime les gros Nanard zombiques avec du sang, du sang, du sang et des fausses tripes en tuyau d’aspirateur peint.

Tout ça pour dire que je ne vais pas du tout parler de ça, ou presque. Je suis là pour me plaindre non de non ! Et je vais commencer par me plaindre de ce nouveau tic de langage que j’ai chopé comme une vieille grippe mutante et que je met à toutes les sauces, non de non de non de non ! J’en ai plein d’autres, mais celui là il est tout nouveau, tout beau, encore frais, pas trop purulent donc il mérite. Voilà, c’est fait.

Ensuite quoi ? Dans un soucis de place, j'ai rangé mes livres dans des caisses en bois. Une bonne chose lorsqu’on ne compte plus jamais les lire de sa vie ni en avoir besoin et encore moins se rappeler de jolis souvenirs ancestraux au goût de poussière. J’ai voulu essayer quand même et bien mal m’en a pris :

J’avais hésité longtemps devant cette tour de quinze tonnes parfumée à la sapinette au fin fond d’un cagibi exigu et jouxtant un "piano laqué noir très fragile ouhlala n’y touche pas".

Finalement j’essaie plusieurs méthodes :


- La force brute : On soulève et on pose ailleurs, de préférence pas sur son pied. (Ça marche un peu mais pas trop.)

- Le glisser-déposer : On glisse et on dépose… Mais dans un coin exigu c’est pas efficace et en plus pour remonter la tour après c’est la méchante galère.

- La symbiose environnementale : On se sert de son environnement (encombré) comme un gros parasite pour soulager le poids des caisses jusqu’à leur emplacement temporaire.


C’est la méthode de symbiose qui semblait fonctionner le mieux (en esquivant le "piano laqué noir très fragile ouhlala n’y touche pas") jusqu’à ce qu’une décision merdique ne rompe la symbiose si parfaite entre la caisse et le vaisselier antique pour faire atterrir cette "Pµt£" sur ma main (La droite bien sur, pas celle qui sert a rien).

Alors maintenant ma main ressemble vaguement à quelque chose qui aurait été rongé par un singe-rat… Monde de merde !

Au moins je me console en me disant que lorsque je serais un zombi et que quelqu’un m’aura foutu un coup de shotgun, mes os iront consolider les barrages des castors-démons. (Non de non!)

 

Vy.

Publié dans De quoi s'plaint-on

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M
<br /> Jasperke Tapamal ! (le dragon prévenant)<br /> <br /> <br />
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V
<br /> <br /> Sarass Safehmal plutôt... (Le dragon qui pique)<br /> <br /> <br /> <br />